Mary & Max, d'Adam Elliot
Film d'animation australien, sorti le 30 septembre 2009, avec les voix de Toni Collette et Philip Seymour Hoffman.
Histoire : Sur plus de vingt ans et d'un continent à l'autre, Mary et Max raconte l'histoire d'une relation épistolaire entre deux personnes très différentes : Mary Dinkle, une fillette de 8 ans joufflue et solitaire, vivant dans la banlieue de Melbourne, en Australie, et Max Horowitz, un juif obèse de 44 ans, atteint du syndrome d'Asperger et habitant dans la jungle urbaine de New York.
Mon avis : Un sujet grave : la solitude et la non-estime de soi-même. Et pourtant beaucoup de rires ! Ce sujet est traité avec un sens de l'esthétisme poussé. On ne peut que penser à Tim Burton. Alors forcément, comme me le faisait remarquer Mel, "il faudrait parfois songer à changer de référence" pour tous ces cinéastes. Mais reconnaissons qu'ici c'est fait avec beaucoup de justesse et de qualités. De l'émotion, un sens du détail, de la poésie, de la tendresse aussi pour mettre en images cette relation épistolaire entre un juif new-yorkais obèse et une gamine australienne qui portent sur le monde un regard désabusé.
Un vrai beau moment de cinéma comme j'aimerais en voir plus souvent.
Histoire : Sur plus de vingt ans et d'un continent à l'autre, Mary et Max raconte l'histoire d'une relation épistolaire entre deux personnes très différentes : Mary Dinkle, une fillette de 8 ans joufflue et solitaire, vivant dans la banlieue de Melbourne, en Australie, et Max Horowitz, un juif obèse de 44 ans, atteint du syndrome d'Asperger et habitant dans la jungle urbaine de New York.
Mon avis : Un sujet grave : la solitude et la non-estime de soi-même. Et pourtant beaucoup de rires ! Ce sujet est traité avec un sens de l'esthétisme poussé. On ne peut que penser à Tim Burton. Alors forcément, comme me le faisait remarquer Mel, "il faudrait parfois songer à changer de référence" pour tous ces cinéastes. Mais reconnaissons qu'ici c'est fait avec beaucoup de justesse et de qualités. De l'émotion, un sens du détail, de la poésie, de la tendresse aussi pour mettre en images cette relation épistolaire entre un juif new-yorkais obèse et une gamine australienne qui portent sur le monde un regard désabusé.
Un vrai beau moment de cinéma comme j'aimerais en voir plus souvent.
Commentaires
@ Pascal : et oui, deux koalas : un sur la boite aux lettres du voisin, et un sur un paquet de friandises :-)