Sans Âme [Gail Carriger]
L’auteur : Gail Carriger, de son vrai nom Tofa Borregaard, est archéologiste et romancière américaine.
Son premier roman, Sans âme, est paru en 2009, et a obtenu de nombreuses nominations à divers prix. 4 opus suivront celui-ci.
L’histoire : Miss Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui ne lui avait même pas été présenté !
Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, écossais et loup-garou – est envoyé par la reine Victoria pour démêler l’affaire.
Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Mais que se trame-t-il réellement dans la bonne société londonienne ?
Mon avis : Mon premier coup de cœur de cette année ! Rien de moins.
Nous voici projeté à l’ère victorienne, au cœur de Londres, où les êtres surnaturels, à savoir les vampires, les fantômes et les loups-garous, vivent au milieu de la bonne société sans anicroche. Alexia Tarabotti est quant à elle une paranaturelle, c’est-à-dire quelqu’un qui annule les pouvoirs des vampires et autres bestioles surnaturelles.
Des personnages haut en couleur et terriblement bien décrits, avec des caractères forts, bourrés de charme. Ce qui fait que leurs dialogues font des étincelles. Entre lord Maccon, loup-garou écossais ronchon et brute de décoffrage et Alexia, vieille fille de 25 ans, que toute sa famille traite avec condescendance et mise définitivement au rencard, les dialogues font des étincelles.
Les personnages secondaires ne sont pas en reste : le professeur Lyall et son humour à froid (comme le disait Fashion qui m'a d'ailleurs donné envie de le lire), lors Akeldama et ses tenues colorées, Floote le majordome qui ne dit quasiment rien mais n’en pense pas moins…
Contrairement aux habitudes de l’époque, la demoiselle a un cerveau dont elle se sert et une langue bien pendue qui a tendance à envoyer des répliques bien senties. De préférence à lord Maccon. Qui n’a donc également que sa langue pour la réduire au silence, mais d’une toute autre façon. Ce qui a le don de les surprendre tous les deux. Et de donner des pensées saugrenues à la demoiselle !
Tout cela mâtiné de loup-garou les soirs de pleine lune, de néo-vampire sans éducation qui attaque n’importe qui, et de recherches scientifiques pour comprendre les fondements de l’âme humaine.
Gail Carriger nous offre ici un roman jubilatoire, où elle revisite les fondements du genre tout en mélangeant ça avec une dose de steampunk.
Saupoudrez tout ceci d’une ambiance à l’anglaise comme on les aime, avec partie de thé et bonnes manières.
On lit tout ça bien trop vite et on attend avec impatience la suite !!!
Son premier roman, Sans âme, est paru en 2009, et a obtenu de nombreuses nominations à divers prix. 4 opus suivront celui-ci.
L’histoire : Miss Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui ne lui avait même pas été présenté !
Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, écossais et loup-garou – est envoyé par la reine Victoria pour démêler l’affaire.
Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Mais que se trame-t-il réellement dans la bonne société londonienne ?
Mon avis : Mon premier coup de cœur de cette année ! Rien de moins.
Nous voici projeté à l’ère victorienne, au cœur de Londres, où les êtres surnaturels, à savoir les vampires, les fantômes et les loups-garous, vivent au milieu de la bonne société sans anicroche. Alexia Tarabotti est quant à elle une paranaturelle, c’est-à-dire quelqu’un qui annule les pouvoirs des vampires et autres bestioles surnaturelles.
Des personnages haut en couleur et terriblement bien décrits, avec des caractères forts, bourrés de charme. Ce qui fait que leurs dialogues font des étincelles. Entre lord Maccon, loup-garou écossais ronchon et brute de décoffrage et Alexia, vieille fille de 25 ans, que toute sa famille traite avec condescendance et mise définitivement au rencard, les dialogues font des étincelles.
Les personnages secondaires ne sont pas en reste : le professeur Lyall et son humour à froid (comme le disait Fashion qui m'a d'ailleurs donné envie de le lire), lors Akeldama et ses tenues colorées, Floote le majordome qui ne dit quasiment rien mais n’en pense pas moins…
Contrairement aux habitudes de l’époque, la demoiselle a un cerveau dont elle se sert et une langue bien pendue qui a tendance à envoyer des répliques bien senties. De préférence à lord Maccon. Qui n’a donc également que sa langue pour la réduire au silence, mais d’une toute autre façon. Ce qui a le don de les surprendre tous les deux. Et de donner des pensées saugrenues à la demoiselle !
Tout cela mâtiné de loup-garou les soirs de pleine lune, de néo-vampire sans éducation qui attaque n’importe qui, et de recherches scientifiques pour comprendre les fondements de l’âme humaine.
Gail Carriger nous offre ici un roman jubilatoire, où elle revisite les fondements du genre tout en mélangeant ça avec une dose de steampunk.
Saupoudrez tout ceci d’une ambiance à l’anglaise comme on les aime, avec partie de thé et bonnes manières.
On lit tout ça bien trop vite et on attend avec impatience la suite !!!
oh la la encore un avis très positif sur ce roman.... qui me fait de l'oeil depuis plus d'un mois!
RépondreSupprimerEn core un livre qui va faire le tour de la blogosphère, je sens...
RépondreSupprimerJe ne suis pas trop fan des histoires de vampires, mais je pourrais me laisser tenter par une tasse de thé.
RépondreSupprimercommandé pour mon anniversaire, j'espère que je l'aurais pour pouvoir enfin le lire...
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé aussi. Surtout pour l'humour, en fait. J'ai rarement autant ri dans certaines scènes. Et volontairement
RépondreSupprimer@ George : quoi ?!!! tu n'as pas encore craqué ??? :-)
RépondreSupprimer@ Irrrégulière : eh oui, pour une fois que je suis parmi les premières...
@ Alex Mot-à-Mots : oui, les vampires partout, ça me fatigue, mais celui-ci vaut le coup, vraiment !
@ bouma : alors je lirai bientôt ton avis :-)
@ Karine :) : Je souriais comme une andouille dans le RER moi aussi :-)
on me l'a prêté, j'ai hâte de le lire!!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la couverture mais je me demande si l'intrigue me plairait.
RépondreSupprimer@ choupynette : n'hésite pas, fonce !
RépondreSupprimer@ Manu : perso je ne trouve pas la couverture terrible... mais si l'intrigue en elle-même n'est pas non plus transcendante, c'est un très très bon moment.
j'ai hâte de lire ton commentaire sur La délicatesse
RépondreSupprimerbravo
plus je le vois et plus je suis tentée
RépondreSupprimerAaaaaaah, je suis tellement contente que tu aies aimé toi aussi! Pareil, ça a été un des quelques coups de coeur que j'ai eus depuis ce début d'année! :)
RépondreSupprimerSuite prévue pour janvier 2012, hélas !!
RépondreSupprimer@ XL : bientôt j'espère.
RépondreSupprimer@ Lilibook : laise toi tenter alors.
@Pimpi : oui, j'avais vu ton billet enthousiaste. Je te rejoins.
@ Radicale : arrrgggggg, mais c'est dans longtemps !!!!!
Je suis en train de le lire et passe un très bon moment... je l'ai vu dans tes coups de coeur, c'est comme ça que j'ai découvert ton billet :) sinon ça me rassure de voir que je ne suis pas la seule à fuir les Goncourt depuis plusieurs désillusions (cf ton billet sur Gaudé). Et justement Gaudé a l'air d'être un bon auteur mais ce simple bandeau me fait hésiter !
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