Visions of Sugar Plums [Janet Evanovich]

Après ma lecture de Twelve sharp de Janet Evanovich, impossible d'abandonner Stephanie Plum. Mais comme je lis ces romans en prenant le temps de les savourer, j'ai préféré me tourner vers le premier Between the numbers, Visions of Sugar Plums. Il se situe entre Le grand huit et Flambant neuf.

L'histoire : It's five days before Christmas and things are not looking merry for Fugitive Apprehension Agent Stephanie Plum. She hasn't got a tree. She hasn't bought any presents. The malls are jam-packed with staggering shoppers. There's not a twinkle light anywhere to be seen in her apartment - and there's a strange man in her kitchen.
Sure, this has happened to Stephanie Plum before. But this guy his different. He's mysterious, sexy - and has his own agenda. His name is Diesel, and he's on a mission. The question is, what does he want with her? Can he help her find a little old toy maker who has skipped out on his bail right before Christmas? Can he survive the Plum family holiday dinner? Can he get Stephanie a tree that doesn't look like it was grown next to a nuclear power plant? These questions, and more, are keeping Stephanie awake at night. Not to mention the fact that she needs to find a bunch of nasty elves, her sister Valerie has a Christmas "surprise" for the Plums, her niece Mary Alice doesn't believe in Santa anymore, and Grandma Mazur has a new stud muffin. So bring out the plastic reindeer, strap on your jingle bells, and get ready to celebrate the holidays - Jersey style.

Mon avis : Pour une fois, c'est une vraie déception que ce numéro de Stephanie Plum. Pourtant, on obtient ici quelques explications sur des événements qui n'avaient pas été développés, comme la grossesse de Valérie. Mais tout est par trop évident, comme le nouveau petit ami de Mamie Mazur dont on entend tant parler mais qui ne sera présenté à la famille qu'à la toute fin. Et puis je n'ai pas accroché un instant au charme de ce Diesel, homme magique, ce qui lui enlève tout intérêt à mes yeux. Il n'arrive pas aux chevilles de Morelli ou de Ranger (bah oui, contrairement à beaucoup, je suis incapable de choisir, comme notre héroïne).
Les scènes de retrouvailles familiales sont ce qui sauvent ce roman : toujours piquantes et imprévisibles, toujours drôlissimes, un petit régal. Qui nous ferait dire, comme Diesel : "j'adore cette famille !"
En attendant le prochain numéro...

Commentaires

Alex Mot-à-Mots a dit…
Ah ben flûte, moi qui avait bien aimé le premier opus.
La chèvre grise a dit…
@ Alex Mot-à-mots : j'ai adoré le premier, et beaucoup des suivants. C'est sur aussi que l'effet de surprise n'est plus là. Mais c'est pour l'instant ma plus grosse déception de la série.

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