Jésus contre Hitler, tome 1 : Zombies nazis en Sibérie [Neil Jomunsi]

L'auteur : Neil Jomunsi est un auteur français.

L'histoire : Sibérie, fin des années 60. Grâce à la magie noire, le sinistre Adolf Hitler est de retour, plus dément que jamais. Son plan? Ressusciter le plus de cadavres possible et constituer une armée de zombies nazis invincibles! Pour certains, il s'agirait de la Fin du Monde. Pour d'autres, c'est simplement le début d'une nouvelle journée de travail. Car John J. Christ, chef de l'Agence B, connait bien le problème: il a plus d'une fois affronté le petit moustachu hystérique et sait comment déjouer ses plans démoniaques. À l'aide de son nouveau coéquipier David Goldstein, qui se demande bien pourquoi on a absolument tenu à l'incorporer dans cette unité délirante, John va faire ce qu'il sait faire de mieux: botter les fesses des créatures de cauchemar, des monstres des abysses, des esprits frappeurs et autres méchants en tout genre. Ha oui, on ne vous avait pas dit? John J. Christ n'est autre que Jésus, le seul, le vrai, l'unique. Et il est en colère.

Mon avis : Original et popcorn, voilà ce que disait Lelf de ce premier opus, et je la rejoins entièrement. Car ce premier opus se consomme de la même manière qu'un film bon public un dimanche soir, devant votre télé. Pour passer un bon moment sans se prendre la tête. D'autant que l'écriture est vraiment proche d'un scénario, avec peu de description et une plongée immédiate dans l'action, le tout non dénué d'humour.
Prenez Jésus, Hitler, des zombies, des nazis, secouez et déversez tout cela en Sibérie. On se demande bien sûr ce que ça peut donner. Forcément quelque chose tiré par les cheveux. Mais le format feuilleton court s'y prête tout à fait et l'auteur ne cherche pas à faire de la grande littérature, axant tout sur le divertissement. Ça n'essaie pas d'être profond ou plausible, aucune recherche de crédibilité, juste un petit délire bien sympathique. J'ai bien l'intention de lire la suite !

Commentaires

Alex Mot-à-Mots a dit…
Il faut dire qu'avec un tel titre, il ne fallait mieux pas que l'auteur se prenne au sérieux.
La chèvre grise a dit…
@ Alex Mot-à-Mots : oui, c'est sûr :-) Mais il n'y a pas maldonne sur la marchandise en tout cas.

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