Angélique et son amour [Anne et Serge Golon]
Pimpi m'a convaincue de reprendre ce tome pour faire un billet commun avec elle, Fashion et Karine:-). Je vous invite à aller lire leurs avis.
Pour l'auteur, je vous renvoie au billet du premier tome de cette saga. Quant à l'histoire, et pour ne pas trop en dévoiler, je ne vous dirai que quelques mots : Angélique, poursuivie par les dragons du roi, doit fuir La Rochelle où elle s'était réfugiée sous les habits d'une servante d'une famille de protestants bourgeois. L'édit de Nantes a été révoqué. Usant de conviction, elle réussit à embarquer, avec tous ses amis, sur le navire du Rescator. Il doit les emmener. Mais ce sombre personnage recèle bien des mystères, dont le moindre n'est pas le charme presque magique qui attire irrémédiablement Angélique.
Bon, je vous l'accorde, ce tome est de loin celui où l'on en apprend le moins sur la période historique. Et pour cause : il se déroule sur un bateau qui traverse l'Océan Atlantique. En vase clos, les différents protagonistes vont devoir apprendre à partager et surtout à s'accepter. La clique du Rescator est en effet très hétéroclite et ne manque pas de choquer ces prudes protestants. Ceux-ci, pourtant en but aux persécutions à cause de leurs différences, ne semblent pas enclins à faire preuve d'ouverture d'esprit. Quant à elle, Angélique, elle ne peut s'empêcher d'être attirer par le maître du vaisseau, et ne comprend pas pourquoi. Je ne peux pas vous le dire sous peine de révéler le secret de ce tome, mais sachez qu'il sera source de beaucoup de moments sensuels pour la demoiselle.
Ce tome est une sorte de pause dans la saga, marquant la fin de la découverte de la France. On quitte le vieux monde et les guerres de religion. Le règne de Louis XIV est alors à son apogée et nous n'assisterons pas à son déclin. À partir du tome suivant, en effet, nous abordons les rivages du Nouveau Monde et la découverte des Indiens (si mal nommés), des Anglais et des Québécois. Chacun devra apprendre à se découvrir et s'accepter. Et surtout à ne pas emporter sur ces nouvelles terres les aigreurs de la vieille Europe.
Pour l'auteur, je vous renvoie au billet du premier tome de cette saga. Quant à l'histoire, et pour ne pas trop en dévoiler, je ne vous dirai que quelques mots : Angélique, poursuivie par les dragons du roi, doit fuir La Rochelle où elle s'était réfugiée sous les habits d'une servante d'une famille de protestants bourgeois. L'édit de Nantes a été révoqué. Usant de conviction, elle réussit à embarquer, avec tous ses amis, sur le navire du Rescator. Il doit les emmener. Mais ce sombre personnage recèle bien des mystères, dont le moindre n'est pas le charme presque magique qui attire irrémédiablement Angélique.
Bon, je vous l'accorde, ce tome est de loin celui où l'on en apprend le moins sur la période historique. Et pour cause : il se déroule sur un bateau qui traverse l'Océan Atlantique. En vase clos, les différents protagonistes vont devoir apprendre à partager et surtout à s'accepter. La clique du Rescator est en effet très hétéroclite et ne manque pas de choquer ces prudes protestants. Ceux-ci, pourtant en but aux persécutions à cause de leurs différences, ne semblent pas enclins à faire preuve d'ouverture d'esprit. Quant à elle, Angélique, elle ne peut s'empêcher d'être attirer par le maître du vaisseau, et ne comprend pas pourquoi. Je ne peux pas vous le dire sous peine de révéler le secret de ce tome, mais sachez qu'il sera source de beaucoup de moments sensuels pour la demoiselle.
Ce tome est une sorte de pause dans la saga, marquant la fin de la découverte de la France. On quitte le vieux monde et les guerres de religion. Le règne de Louis XIV est alors à son apogée et nous n'assisterons pas à son déclin. À partir du tome suivant, en effet, nous abordons les rivages du Nouveau Monde et la découverte des Indiens (si mal nommés), des Anglais et des Québécois. Chacun devra apprendre à se découvrir et s'accepter. Et surtout à ne pas emporter sur ces nouvelles terres les aigreurs de la vieille Europe.
Commentaires
Mais ceci dit, je comprends Caro[line] qui trouve ça un peu gnan gnan, quand on est adulte la découverte ne peut pas avoir la même saveur.
Où l'art de faire aimer l'histoire à une jeune fille !