Séraphine, de Martin Provost
Film franco-belge de Martin Provost, sorti le 1er octobre 2008, avec Yolande Moreau.
L'histoire : En 1912, le collectionneur allemand Wilhelm Uhde, premier acheteur de Picasso et découvreur du douanier Rousseau, loue un appartement à Senlis pour écrire et se reposer de sa vie parisienne. Il prend à son service une femme de ménage, Séraphine, 48 ans. Quelque temps plus tard, il remarque chez des notables locaux une petite toile peinte sur bois. Sa stupéfaction est grande d'apprendre que l'auteur n'est autre que Séraphine. S'instaure alors une relation poignante et inattendue entre le marchand d'art d'avant-garde et la femme de ménage visionnaire.
Mon avis : Voici un film que j'avais entraperçu au moment de sa sortie. J'ai eu ce mois-ci l'occasion de le voir sur Canal+. La première chose à noter, c'est que Yolande Moreau est époustouflante en Séraphine illuminée et inspirée, toute en douceur et en touches délicates.
Un film simple et touchant qui m'a permis de découvrir une artiste que je ne connaissais absolument pas. Une part belle est faite au temps qui s'écoule, à la fluidité des enchaînements. Un film tout en douceur et en simplicité, à l'image de l'héroïne.
Néanmoins il est assez académique, ce qui le met pour moi à la hauteur d'un très bon téléfilm comme on peut en voir certaines fois sur France Télévision ou sur Arte. Et puis, je trouve dommage qu'une plus grande partie du film n'ait pas été accordée à sa technique de peinture et sur les œuvres qu'elle a réalisées.
L'histoire : En 1912, le collectionneur allemand Wilhelm Uhde, premier acheteur de Picasso et découvreur du douanier Rousseau, loue un appartement à Senlis pour écrire et se reposer de sa vie parisienne. Il prend à son service une femme de ménage, Séraphine, 48 ans. Quelque temps plus tard, il remarque chez des notables locaux une petite toile peinte sur bois. Sa stupéfaction est grande d'apprendre que l'auteur n'est autre que Séraphine. S'instaure alors une relation poignante et inattendue entre le marchand d'art d'avant-garde et la femme de ménage visionnaire.
Mon avis : Voici un film que j'avais entraperçu au moment de sa sortie. J'ai eu ce mois-ci l'occasion de le voir sur Canal+. La première chose à noter, c'est que Yolande Moreau est époustouflante en Séraphine illuminée et inspirée, toute en douceur et en touches délicates.
Un film simple et touchant qui m'a permis de découvrir une artiste que je ne connaissais absolument pas. Une part belle est faite au temps qui s'écoule, à la fluidité des enchaînements. Un film tout en douceur et en simplicité, à l'image de l'héroïne.
Néanmoins il est assez académique, ce qui le met pour moi à la hauteur d'un très bon téléfilm comme on peut en voir certaines fois sur France Télévision ou sur Arte. Et puis, je trouve dommage qu'une plus grande partie du film n'ait pas été accordée à sa technique de peinture et sur les œuvres qu'elle a réalisées.
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