Lovely Bones, de Peter Jackson
Film américano - britannico -néo-zélandais de Peter Jackson, sorti le 10 février 2010, avec Saoirse Ronan, Mark Wahlberg, Susan Sarandon.
L'histoire : L'histoire d'une jeune fille assassinée qui, depuis l'au-delà, observe sa famille sous le choc de sa disparition et surveille son meurtrier, ainsi que la progression de l'enquête...
Mon avis : Parfois, les carnets de billets de cinéma, ça a du bon. Je m'explique : il me restait quelques tickets de cinéma à terminer avant la fin du mois de février. Mais que diable allais-je pouvoir aller voir, sachant que les grands attendus comme Sherlock Holmes ou Shutter Island sont réservés avec les copains, sur Paris et en VO. Il me fallait me rabattre sur autre chose. Et c'est là que j'ai aperçu les affiches de ce film dans les couloirs du métro parisien, que je me suis rendue compte qu'il s'agissait d'un Peter Jackson et que l'histoire a priori pouvait m'intéresser, même si, étant en pleine lecture de Seul le silence de R.J. Ellory, je craignais quelque peu l'overdose de meurtres d'enfants...
Je suis donc partie, seule, lâchement abandonnée pour la deuxième fois après l'expérience de La princesse et la grenouille, me faire une petite toile, dans le cinéma de quartier juste à côté de chez moi. Pour voir le film en VF. Beurk, je sais.
Je sais doublement, parce que beurk le film aussi. Certes, la perte d'un enfant et le drame que ça représente pour une famille me semble plutôt réussi. Certes, certaines images de paysages néo-zélandais sont belles. Mais il y a beaucoup trop de guimauves sur les images de cet entre-deux mondes où est coincée Susie le temps qu'elle accepte sa propre mort. Ça en devient ridicule, en gêne l'expression d'une quelconque émotion. Les effets spéciaux saturent le visuel sans rien apporter. Et cette guimauve en regard du sujet si lourd en est à la limite de l'indécence.
Je disais "les carnets de billets de cinéma, ça a du bon". Oui, parce que parfois, ça vous pousse à aller voir des navets et vous rendre compte que faire un film correct n'est pas si évident à réaliser.
Pour finir, une phrase de la critique de Télérama, pas dénuée de justesse :"Le tout est filmé avec la finesse d'une charge d'orques dans Le seigneur des anneaux."
L'histoire : L'histoire d'une jeune fille assassinée qui, depuis l'au-delà, observe sa famille sous le choc de sa disparition et surveille son meurtrier, ainsi que la progression de l'enquête...
Mon avis : Parfois, les carnets de billets de cinéma, ça a du bon. Je m'explique : il me restait quelques tickets de cinéma à terminer avant la fin du mois de février. Mais que diable allais-je pouvoir aller voir, sachant que les grands attendus comme Sherlock Holmes ou Shutter Island sont réservés avec les copains, sur Paris et en VO. Il me fallait me rabattre sur autre chose. Et c'est là que j'ai aperçu les affiches de ce film dans les couloirs du métro parisien, que je me suis rendue compte qu'il s'agissait d'un Peter Jackson et que l'histoire a priori pouvait m'intéresser, même si, étant en pleine lecture de Seul le silence de R.J. Ellory, je craignais quelque peu l'overdose de meurtres d'enfants...
Je suis donc partie, seule, lâchement abandonnée pour la deuxième fois après l'expérience de La princesse et la grenouille, me faire une petite toile, dans le cinéma de quartier juste à côté de chez moi. Pour voir le film en VF. Beurk, je sais.
Je sais doublement, parce que beurk le film aussi. Certes, la perte d'un enfant et le drame que ça représente pour une famille me semble plutôt réussi. Certes, certaines images de paysages néo-zélandais sont belles. Mais il y a beaucoup trop de guimauves sur les images de cet entre-deux mondes où est coincée Susie le temps qu'elle accepte sa propre mort. Ça en devient ridicule, en gêne l'expression d'une quelconque émotion. Les effets spéciaux saturent le visuel sans rien apporter. Et cette guimauve en regard du sujet si lourd en est à la limite de l'indécence.
Je disais "les carnets de billets de cinéma, ça a du bon". Oui, parce que parfois, ça vous pousse à aller voir des navets et vous rendre compte que faire un film correct n'est pas si évident à réaliser.
Pour finir, une phrase de la critique de Télérama, pas dénuée de justesse :"Le tout est filmé avec la finesse d'une charge d'orques dans Le seigneur des anneaux."
Commentaires
(et de toute façon, je n'étais pas tentée par le film, le thème ne me parlant pas du tout)
Merci pour ton post qui me conforte dans cette idée !