Trois semaines à Paris [Barbara Taylor Bradford]
L'auteur : Barbara Taylor Bradford est une romancière anglo-américaine née en mai 1933. Ses romans sont régulièrement des best sellers.
L'histoire : Alexandra, Kay, Jessica et Maria : elles étaient quatre amies inséparables jusqu'à ce qu'un malentendu brise le cercle enchanté qu'elles avaient formé pendant toutes leurs études à Paris. Pour chacune d'entre elles, la ville des lumières représentait un tournant dans leurs vies. Aujourd'hui, sept ans plus tard, elles se retrouvent. La magie de Paris va-t-elle à nouveau transformer leur existence ?
Mon avis : Mon dieu que c'est niais ! Je me demande encore comment j'ai pu arriver au bout de cette lecture sans craquer...
Les quatre demoiselles sont toutes magnifiques, intelligentes, belles, responsables, et tout et tout. Tous les personnages croisés sont d'ailleurs très gentils. Au pire, s'ils sont désagréables, ce n'est pas de leur faute, c'est qu'ils ont subi un traumatisme dont ils n'arrivent pas à se remettre ou bien ont fait une erreur de jugement dont ils se repentent et paieront le prix toute leur vie en étant malheureux comme les pierres. Aucune perspective d'évolution, aucun relief, aucun intérêt en fait, tout simplement. C'est d'un pauvre et d'un pathétique.
Et puis, cette Alexandra qui trouve la chambre de l'hôtel Le Meurice "confortable et agréable" comme si elle descendait dans le premier hotel venu. Il s'agit tout de même d'un 5 étoiles à minimum 790€ la nuit. Que voulez-vous, elle et moi n'avons pas les mêmes valeurs ni les mêmes possibilités financières. Enfin, je dis "elle" je devrais dire "eux", car ils sont tous du même accabit dans ce roman. S'en est affligeant.
Ce qui fait, vous vous en doutez, que j'ai eu beaucoup de mal à ne pas refermer ce livre avant la fin.
Les quatre demoiselles sont toutes magnifiques, intelligentes, belles, responsables, et tout et tout. Tous les personnages croisés sont d'ailleurs très gentils. Au pire, s'ils sont désagréables, ce n'est pas de leur faute, c'est qu'ils ont subi un traumatisme dont ils n'arrivent pas à se remettre ou bien ont fait une erreur de jugement dont ils se repentent et paieront le prix toute leur vie en étant malheureux comme les pierres. Aucune perspective d'évolution, aucun relief, aucun intérêt en fait, tout simplement. C'est d'un pauvre et d'un pathétique.
Et puis, cette Alexandra qui trouve la chambre de l'hôtel Le Meurice "confortable et agréable" comme si elle descendait dans le premier hotel venu. Il s'agit tout de même d'un 5 étoiles à minimum 790€ la nuit. Que voulez-vous, elle et moi n'avons pas les mêmes valeurs ni les mêmes possibilités financières. Enfin, je dis "elle" je devrais dire "eux", car ils sont tous du même accabit dans ce roman. S'en est affligeant.
Ce qui fait, vous vous en doutez, que j'ai eu beaucoup de mal à ne pas refermer ce livre avant la fin.
Ce roman correspond à la catégorie Lieu du challenge Petit Bac 2012 d'Enna. Un petit clic sur le logo !
Que j'aime ce billet! J'ai lu cet auteur il y a plus de vingt ans, mais c'est bien fini! On dirait du daniele Steel...
RépondreSupprimerJ'étais étonnée de voir cette auteur ici :-D
RépondreSupprimer@ keisha : Il doit y avoir un daniele steel lu pour le Petit Bac 2011 quelque part ici, et de mémoire les personnages étaient tout de même beaucoup plus nuancés.
RépondreSupprimer@ Manu : tu as eu peur, hein :-) Profites-en, je pense pouvoir te dire que tu ne l'y reverras jamais.