Better than perfect [Simone Elkeles]
L'histoire : After getting kicked out of boarding school, bad boy Derek Fitzpatrick has no choice but to live with his ditzy stepmother while his military dad is deployed. Things quickly go from bad to worse when he finds out she plans to move them back to her childhood home in Illinois. Derek’s counting the days before he can be on his own, and the last thing he needs is to get involved with someone else’s family drama.
Ashtyn Parker knows one thing for certain--people you care about leave without a backward glance. So when her older sister comes home after abandoning her ten years earlier, with her hot new stepson in tow, Ashtyn wants nothing to do with either of them. Then she comes up with a plan that would finally give her the chance to leave, but it requires trusting Derek—someone she barely knows, someone born to break the rules. Is she willing to put her heart on the line to try and get the future she wants?
Mon avis : Bof.
Comment ça, ça ne suffit pas pour un billet ? Bon, si vous insistez, je vais élaborer un peu plus mon propos. Alors, soit j’ai passé l’âge de lire des histoires d’amour adolescentes pour faire battre mon petit cœur ; soit je n’étais pas dans le bon état d’esprit ; soit j’attendais trop de ce livre puisque j’avais aimé Perfect chemistry ; soit tout simplement celui-ci est moins bon. Au final, je penche pour un bon mélange des 4. Discutons un peu du dernier puisque les autres ne s’y prêtent guère.
La narration est habituelle avec Simone Elkeles : un chapitre du point de vue du garçon, un autre du point de vue de la fille. Elle lève petit à petit le voile sur la personnalité de chacun. Pourquoi Ashtyn (non mais ce prénom !) se bat-elle tout le temps contre tout ? Elle est belle sans le savoir, elle est forte mais a aussi des faiblesses qu’elle essaie de cacher. Pourquoi Derek se laisse-t-il autant aller à profiter sans se poser de question ? Il est beau gosse, plein d’expérience (à 17 ans, mais bien sûr). Comme d’habitude, pas d’inquiétude, la fin est déjà connue : « ils vécurent heureux et eurent… ». En même temps, c’est un peu ce qu’on recherche quand on ouvre ce type de roman YA. Les relations familiales compliquées de chacun ne suffiront pas à mettre en péril leur bonheur futur. Mais de là à permettre au lecteur de s’identifier ? J’ai quelques doutes.
Ce qui m’aura le plus plu dans ce livre, ce sont les personnages secondaires, guère plus qu’esquissés, mais plein de potentiel, notamment tous les équipiers d’Ashtyn. L’idée d’une équipe mixte ainsi mise en avant est intéressante. Ce n’est pas quelque chose qu’on voit beaucoup, en France en tout cas. Mais l’aspect football américain est au final peut présent et seulement un prétexte. Dommage, j’aurais aimé en découvrir un peu plus sur ce sport.
Comme le dit si bien Clarabel, « c’est gros, c’est niais, c’est dégoulinant de guimauve, ça colle aux doigts ». Sauf que, au final, Clarabel a aimé et pas moi. Voyons le bon côté des choses, ça me fait travailler mon anglais !
Comment ça, ça ne suffit pas pour un billet ? Bon, si vous insistez, je vais élaborer un peu plus mon propos. Alors, soit j’ai passé l’âge de lire des histoires d’amour adolescentes pour faire battre mon petit cœur ; soit je n’étais pas dans le bon état d’esprit ; soit j’attendais trop de ce livre puisque j’avais aimé Perfect chemistry ; soit tout simplement celui-ci est moins bon. Au final, je penche pour un bon mélange des 4. Discutons un peu du dernier puisque les autres ne s’y prêtent guère.
La narration est habituelle avec Simone Elkeles : un chapitre du point de vue du garçon, un autre du point de vue de la fille. Elle lève petit à petit le voile sur la personnalité de chacun. Pourquoi Ashtyn (non mais ce prénom !) se bat-elle tout le temps contre tout ? Elle est belle sans le savoir, elle est forte mais a aussi des faiblesses qu’elle essaie de cacher. Pourquoi Derek se laisse-t-il autant aller à profiter sans se poser de question ? Il est beau gosse, plein d’expérience (à 17 ans, mais bien sûr). Comme d’habitude, pas d’inquiétude, la fin est déjà connue : « ils vécurent heureux et eurent… ». En même temps, c’est un peu ce qu’on recherche quand on ouvre ce type de roman YA. Les relations familiales compliquées de chacun ne suffiront pas à mettre en péril leur bonheur futur. Mais de là à permettre au lecteur de s’identifier ? J’ai quelques doutes.
Ce qui m’aura le plus plu dans ce livre, ce sont les personnages secondaires, guère plus qu’esquissés, mais plein de potentiel, notamment tous les équipiers d’Ashtyn. L’idée d’une équipe mixte ainsi mise en avant est intéressante. Ce n’est pas quelque chose qu’on voit beaucoup, en France en tout cas. Mais l’aspect football américain est au final peut présent et seulement un prétexte. Dommage, j’aurais aimé en découvrir un peu plus sur ce sport.
Comme le dit si bien Clarabel, « c’est gros, c’est niais, c’est dégoulinant de guimauve, ça colle aux doigts ». Sauf que, au final, Clarabel a aimé et pas moi. Voyons le bon côté des choses, ça me fait travailler mon anglais !
Better than perfect, de Simone Elkeles
Kindle edition, Bloomsbury
Août 2014
Tu n'aimes donc pas le côté guimauve qui colle aux doigts.
RépondreSupprimer@ Alex : Autant je suis capable d'apprécier ça parfois, autant là, non.
RépondreSupprimerAh, ah ! Je m'attendais tellement à être déçue (toutes les copines n'ont pas aimé, comme toi), et finalement j'ai été agréablement surprise.
RépondreSupprimerPure rebelle ! ;-)
@ Clarabel : c'est ce qui fait ton charme aussi :)
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